lundi 31 décembre 2012

The Wavy Year 13






Pour une Année Nouvelle promise aux soubresauts culturels, aux envies de bouger, aux engagements nouveaux, à l'inattendu, aux embruns de la mer arabique, au sable du désert ...

On s'offre avant de démarrer tout ça, la traversée d'un charmant rai de diamants... 






















lundi 3 décembre 2012

vendredi 16 novembre 2012

Golf dans le Golfe
























Le golf est une pratique qui force l'humilité. 
Il nous plonge dans d'obscurs moments de doute.

Et puis c'est puis la lumière...et tout repart.








Commencez ici et montez de bas en haut,
 c'est mieux pour la compréhension de l'histoire....



vendredi 9 novembre 2012

Le diable ne s'habille pas qu'en Prada.




Tout est dans le sac... 


Dans le "sac à mains".

Mystère biblique pour les uns, énigme de Karnak pour d'autres, rébus sans fin pour les enfants, le sac à mains a gagné sa place respectable au sein de la famille. 
C'est un être à la fois fragile et laborieux, 
léger et lourd de sens. 
Il demeure sous nos yeux bienveillants, le fidèle des fidèles.
Aurait-il sa propre âme? 
Décide-t-il à notre place ? 
Il n'y a qu'à le voir piauler, geindre ou carillonner ... On le croirait bel et bien vivant. 
(extrait de bettydivine Roman) 


Vive le totem de la femme moderne ...



(Petit clin d'oeil à Pierre dont c'est l'anniversaire...)







vendredi 19 octobre 2012

Ingénue jolie





Un peu de shopping en musique...

Hip Hip 
Chin Chin !












Mon chéri, j'ai fait quelques courses, tu vas adoooorer ...!







jeudi 27 septembre 2012

The Burj Khalifa dedicace






Comme il est assez facile d'accéder au Burj Khalifa en passant par la porte,
Comme je n'ai pas le vertige mais que... je suis têtue,
Comme je voulais prendre la pose aux côtés de Tom Cruise de passage à Dubai sans faire la queue depuis le bas,
Comme j'ai vu le film 1 fois ... 3 fois dans l'avion, 
Comme j'ai des super pouvoirs,
Et surtout des super gants à ventouse,
Comme personne ne m'a proposé de Mission Impossible...et que je n'attends que ça depuis mon arrivée, 














Je me suis laissée tenter par une grimpette pour apprécier la démesure du Burj Khalifa...









J'ai d'ailleurs rarement été aussi ridicule depuis l'intérieur...









Mais cela valait le coup.
Je me suis changée dans les restrooms, et hop... une petite photo...










A bientôt pour d'autres opérations complètement Impossibles !!!!!!



mercredi 19 septembre 2012

Mirage ...




Say my name






Avec une certaine fraîcheur d'esprit, je suis descendue de l'avion, la ferme intention de conquérir 
le pays où ..."Every thing is possible, Mam". 

J'étais prête. 
Le brushing léger, le foulard vaporeux et les paillettes plein la tête. 















Et Dubai semblait m'attendre ...








Prochain rendez-vous au Burj Khalifa...
Qui m'aime me suive.
Opération Mission impossible 4 ...
(préparez vos ventouses)



samedi 14 juillet 2012

Cartons et crustacés






« Tous les objets nous reflètent, sauf peut-être les miroirs ».
Françoise Mallet Joris.

Et celui là, plus que tout autre "objet" : une maison.
Celle-là est née sous les traits moult fois grattés dans l’épaisseur du calque. Elle s’est modelée dans les hypothèses, enrichie de scénarios selon l’organigramme du moment pour finalement prendre corps dans une maquette en carton comme un jouet rondement idéalisé. On pouvait déjà s’y projeter tel une échographie d’un genre nouveau.
Il lui aura fallu 8 mois pour s’ancrer et se tenir bien droite. Certes, un mois trop tôt pour ses occupants mais manger de sa poussière de parquet n’a pas été plus dur que d’attendre du nouveau né qu’il fasse enfin ses nuits. Elle était inachevée mais toute en promesses.

Une maison est talentueuse. Dans un boîtier savant, elle empile les générations avec ses univers respectifs. Elle les fait se jouxter d’un mur à un autre pour arriver à un consensus joyeux dans la Family room.
Une Maison de verre paraît fragile par sa transparence mais c’est une forteresse. C'est un phare brassé à ses pieds par le ressac des bons et des mauvais jours. Parfois même les digues lâchent. Les agressions finissent par pénétrer alors qu’on la croyait inviolable. Il faut colmater les brêches. 
Une Maison nous enveloppe. Nous réconforte. Nous isole aussi.
Car à être trop parfaite, la Maison en devient étanche aux nouveautés. 
Elle finit par nous faire oublier qu’il existe un ailleurs.


Et un jour il faut lever l’ancre. Transmettre à d’autres.






Heureusement, la Maison, "c'est nous".

On peut toujours tout recommencer ailleurs … je vous retrouve en Septembre avec toutes les couleurs de l'arrière saison ! (mon matériel de blogueuse est parti dans les cartons)

  



Prochaine destination...
Latitude 25,18N et Longitude 55,20E




Je ne vous m'oublie pas.

vendredi 29 juin 2012

Stronger than Before







A la veille de ce l'on appelle communément "les vacances d'été", je fais le bilan de cette blogstory, commencée le 11.11.11...
Contre vents et marées, Bettydivine a maintenu le cap et c'est grâce à vous ...
chers Padawans "mystère"... 
Alors simplement merci.







A la semaine prochaine !!!

dimanche 17 juin 2012

Safari Baccalauréat


(Ce billet s'adresse aux parents contraints de trouver des solutions pour leurs enfants passant les épreuves de l'Education Nationale à une distance très éloignée de chez eux...)




Lyon, juin 2009


Depuis plusieurs années, les petits séjours « à thème » deviennent très « tendance »… Comme les détours  récréatifs chez les grands Chefs pour y tenter le Lucullus pyramidal avec moelle aux truffes sur croûte de langoustines... On connaît les chèques cadeau « Relais Château », les maudits week-ends rendus obligatoires grâce à vos collègues qui se sont côtisés pour vous offrir un saut à l’élastique ou encore le plan Thalasso alors que vous détestez l’eau.

Et bien moi, j’ai testé le safari « Examens ».

Tout d’abord, on se présente au petit hôtel le plus proche du lieu d’examen avec une curiosité mal dissimulée. Contre toute attente (car vous avez le sens de l’aventure en choisissant hasardeusement un hébergement sur Internet) l’endroit est décoré avec un charme fou : cuirs chocolats, murs écrus, photos noir et blanc  à la Ernest Hemingway. Ca y est, vous y êtes enfin. Et avec ce lys qui vous attend dans la salle de bain, le séjour promet d’être agréable.

La clim est au maximum car le temps est orageux. La journée se termine et il est temps de se trouver une petite assiette lyonnaise pour répondre à votre léger creux. La Petite révise encore quelques pages de philo pendant que, de votre coté, vous blindez de moult manières possibles le réveil du lendemain. Ca y est, toute la direction de l’hôtel est au courant que votre fille passe son bac de philo et il n’est pas question d’envisager la panne annuelle pour les heures à venir.

La nuit est agitée. Très agitée. Vous avez pourtant pris soin de l’attaquer avec pléthore de pilules favorables à l’endormissement. Nuit fiévreuse donc, la Petite disparaît de votre champs de vision pour trouver refuge par terre. Ambiance safari assurée sur la moquette grège, vous êtes étonnée de la retrouver entre le frigo et la poubelle en osier.

Ca y est, le réveil va sonner. Vous préparez déjà dans votre tête les mots liquides à l’idée du feu follet que va déclencher la sonnerie du téléphone.
Comme prévu, la Petite explose de colère et refuse tout net d’avancer à la manière d’un vieil âne sous prétexte que la nuit en pointillé est de mauvais augure pour la suite et qu’elle a déjà ruminé la philo toute la nuit dans son demi-sommeil. Elle veut rentrer à la maison. A ce moment, vous sortez votre fiole de mots-super-dopant : « Va donc prendre ta douche dans la salle de bain et ça va aller ! »

Ca marche. Elle revient avec le sourire aux lèvres en vous disant qu’après tout, elle connaît son cours par cœur puisqu’elle en a effeuillé les moindres recoins toute la nuit durant.

La Petite vaque à son épreuve dans le quartier proche et vous restez toute seule dans la salle du petit déjeuner entre les hommes d’affaires et les touristes à faire semblant de regarder le journal avec intérêt.
Les 8 heures du matin approchent.
Personne ne relève l’Evènement dans la salle.
Impossible d’avaler quoique ce soit, pas même la petite cerise lustrée qui vous fait de l’œil dans la corbeille à fruits. L’imagination remplit votre tasse comme une flaque résurgente. Vous imaginez la Petite défaillir sur sa chaise à la lecture de son sujet. Vous tendez l’oreille si une ambulance ne traverse pas le quartier. Votre portable reste muet. Le temps devient farineux et produit des grumeaux toutes les demi-heure.

Comme vous ne tenez plus en place dans la chambre, vous vous dites que Lyon est quand même une jolie ville et que ce serait dommage de ne pas en profiter.  Vous êtes alors prise d’une agitation compulsive sur la carte bleue. Elle « seule » peut vous faire penser à autre chose qu’à Sartre et sa bande de copains névrosés.

Midi approche avec son grumeau de trop. Vous attendez la Petite avec ce petit air niais qui force sur la décontraction, déjà prête à décapsuler une autre fiole de mots-magiques-super dopant…pour l’épreuve suivante : les maths !!!

On toque. Le bruit court est-il tinté de joie, de légèreté ou de désespoir ?
Le sourire de la Petite vous met en confiance. Vous rangez votre fiole pour plus tard. Vous écoutez la triple copie double reportée à voix haute et trouvez votre fille totalement géniale parce que la philo ne fait plus partie de votre quotidien depuis longtemps !
On se recentre. Le safari continue avec ses embuscades, ses retenues face aux peurs…et surtout les vôtres d’ancienne bachelière. Les munitions filent. On recommence le même périple jusqu’au lendemain.
6H30. En bon safariste, vous appréciez le lever du soleil adoubant cette nouvelle journée de traque dans les herbes folles.

Midi. Toujours ce même sourire après l'épreuve de mathématiques.
Cette fois la voiture est prête sur le parking, pique nique à l’arrière. Vous tracez la route vers la Suisse.
La Petite vous dit alors :
« Moi j’aime bien passer le bac ».

Vous vous sentez soudain très fatiguée. La semaine prochaine, tout recommence. Cette fois, cinq jours d’affilé...
Avec un joli trophée à la clé.

La Petite et la Grande.





lundi 4 juin 2012

Moultipass ^%§¨+°?&"@ ù *!!!












Ah qu'ils sont loin, ces moments où on voulait sortir de sa bulle et se frotter au monde extérieur...




(extrait du Roman betty Divine)


Et maintenant, à vouloir jouer les moultipass,
les hop-hop-hop de service,
les "Parceque je le vaux bien",
tout s'emballe.
Chers padawans de mon coeur, je vous le dis,  cette semaine, je n'aurai pas le temps d'émettre une pensée positive...



Mais...dans quelques jours,
 je vous promets une belle histoire autour d'un évènement majeur dans la vie d'un Homme et d'une Femme,

LE BACCALAUREAT FRANCAIS !!!








lundi 28 mai 2012

Nooooon, pas Roland Garros !





Roland Garros est ...pour nous tous... un repère dans le temps. Combien de fois avons nous pesté de ne pas avoir pu regarder les matchs à la télé,



En toute bonne conscience...




A cause d'un certain nombre de petites choses à faire...
Comme appréhender :

Les révisions du brevet,
Les révisions du bac,
Les révisions d'examens de fin d'années,
Des concours de tout ordre à réviser,
Les séjours linguistiques à booker,
Un jardin à tondre...ou à entretenir,
Le spectacle de l'école à répéter,
Un régime à attaquer,
De l'autobronzant à acheter,
Une fin de projet professionnel à clôturer,
Un déménagement à organiser,
Des vacances à réserver avant qu'il n'y ait plus de places,
Un stage Autocad à refaire,
Une communion à l'autre bout du monde à honorer,
De menus travaux à remettre avant juillet,
Les barbecues surprises à préparer...




Et quand tout cela tombe en même temps...

C'est que nous sommes bel et bien
pendant la période maudite de
Roland Garros...Vouiii !
Vivement novembre, c'est plus tranquille...




Chers Padawans, je vous autorise à regarder la télévision ...bettydivine déteste la période de Roland Garros !!!

dimanche 20 mai 2012

Cannes... Monter ou Descendre les marches ?



Star ...







                                                                                                 Extrait du roman




Ne me demandez pas pourquoi je suis allée à Cannes, ni comment j'ai foulé les marches du célébrissime tapis rouge, mais j'y suis allée.
Et je peux vous dire qu'il n'est pas si simple de monter ce bel escalier rouge...





Tout est affaire de chaussures adéquates ...sinon...





Quand on ne prend pas garde à la robe volante qui se glisse subrepticement entre votre semelle et votre pied crispé, voilà ce qu'il risque d'arriver...C'est la chute !!!  (histoire vraie)








Et la gloire risque d'arriver de la manière la plus inattendue possible !











         Prévoyez les crampons comme Delphine Chanéac...












POUPOUDIDOUIez autant que vous voulez, nous sommes toutes les STARS de quelqu'un...

PAOUHHHH!

dimanche 13 mai 2012

Quelqu'un que je connais bien...






La vie est écrite comme cette chanson.
Faite de moments de silence, de retenue, d'ombre ...et d'Ecriture.
Et soudain la mélodie s'emballe. 
Il est temps de passer sous la lumière, de prendre les couleurs... comme elles arrivent.
Avec simplicité et bonheur.


Je vais moi aussi vous parler de "Somebody That I (Used To) know".
My best friend.
Son premier ROMAN sort le 16 Mai. Je vous recommande son humour aussi poétique que décapant.
Soyez les premières (et premiers !) au courant, la déferlante " Caroline de Bodinat" va arriver...

MARATRE, éditions Fayard







C’est une célibataire comme beaucoup de trentenaires aujourd’hui. Avec son caractère de chat de gouttières, elle mène son monde comme elle l’entend.
Elle, c’est Mathilde, avant de rencontrer Eugène, divorcé, quarante-cinq ans, père de deux enfants. Son fils Vincent a quinze ans et Chloé, sa fille, bientôt onze.
Séduire le père était un jeu d’enfant, séduire les enfants est un jeu de patience... D’ange. Mathilde n’est pas un ange, son aptitude à la contrariété est très modérée. Vincent et Chloé sont coriaces, ils ont dégommé plus d’une marâtre mais Mathilde est tenace. Elle s’accroche, échafaude des stratégies des plus bancales, s’échine à plaire aux enfants.
Avec les deux adolescents, elle connaîtra les claquements de portes, la jalousie, la rivalité, l’ambivalence des sentiments, la notion plus ou moins élastique de paix armée, les petites victoires remportées à l’arraché.

Ce roman porte un regard caustique et d’une grande justesse sur une situation devenue phénomène de société : plus d’un million d’enfants vivent actuellement avec un parent et un beau-parent.

Marâtre est le premier roman de Caroline de Bodinat.



































Chers padawans, merci pour votre fidélité...Elle court, elle court la Betty en ce moment!