dimanche 13 novembre 2011

Petit Roman entre amis





Voilà la mise en scène parfaite.
Voilà idéalement comment je vois une présentation réussie pour le lancement d’une produit totalement nouveau…



Je vous l’accorde, cette hypothèse est valable dans un vrai décor en dur, un samedi de foule prise de fièvre acheteuse, une veille de Noël.
Rahrahrohroh !!! le bonheur pour les éditeurs papier !!!

Entre nous, pas besoin de pester dans la file qui mène à la caisse. Grâce au blog, on va procéder autrement…je vais diffuser un lot de chapitres environ chaque week-end. … Oui, toi, petite lectrice cachée derrière l’écran, blottie dans ton bon vieux peignoir en pilou ou dans ce fidèle sweet troué et trop large, tout restera entre nous. Et rien qu’entre nous.
Hahohohiho !!! le bonheur pour les écrivains comme moi !















(Cas de figure, la veille des vacances d’été…c’est tout pareil.)





Le 11.11.11, vous avez pu découvrir le prologue… Quelques mots d’introduction pour la suite, histoire de se mettre en condition !

Le genre

Comédie douce amère, à la limite du fantastique, sur celui « qui croit voir » et qui est « vu à son tour ».

Trois univers (la Femme, la Star, le Sauvage) se succèdent puis s’imbriquent les uns aux autres, pour ne faire plus qu’un au final. Les thèmes abordent la notion de reconnaissance de la femme, les illusions portées sur le vedettariat.... la recherche identitaire à travers un imbroglio d’aventures cocasses.

En toile de fond, des inserts journalistiques sont régulièrement dispensés par la radio Serendip’ News. Le mot « Serendipity » en anglais signifie « démarche qui consiste à trouver quelque chose d'intéressant de façon imprévue, en cherchant autre chose, voire rien de particulier ». Les annonces favorisent une interaction singulière entre actualité et évènements vécus par les personnages. Elles laissent entrevoir par les sujets, parfois décalés, notre mode de vie à venir.
Les bons sentiments finissent par clôturer l’histoire.
Le rôle de Femme bienveillante est universel.
La fin est positive, dynamitée par un rebondissement en fin de roman.

Les personnages.

L’héroïne est Betty. C'est une Bridget Jones, version mère de famille, qui a le sens aigu de la dérision et est en proie à un tas d’interrogations sur son positionnement social. D’ailleurs, son sujet récurrent est sa bataille acide contre les « A », les actives. Elle est touchante, gaffeuse, généreuse. Beaucoup de femmes devraient se reconnaître dans son dédale existentiel, entre mari, carrière professionnelle et enfants.

La Star représente la gloire aveugle, la fuite en avant, l’illusion du bonheur parfait, la solitude extrême du vedettariat. Elle veut tendre vers un retour aux sources et trouve enfin l’Amour sur le chemin d’une réflexion sur sa vie personnelle.

Le personnage Bombyx, papou de son état, joue le rôle du Candide qui observe avec naïveté notre société au travers le prisme déformant d’un portable .
Il parle à la manière d’un personnage d’Astérix, avec dérision et ingénuité. Son langage, truffé d’anachronismes, permet une comparaison sans concessions entre sa société primitive et les excès du monde occidental.

Le disparu Teddy MCT est l’intégrateur négatif, le diable moqueur. Celui qui est à l’origine de la cascade d’événements étranges.

Bonne lecture : le prologue et les 3 premiers chapitres vous attendent dans la partie "Roman" de ce blog.
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